samedi 25 juillet 2009

No Future ? Un peu de système

Bon, après la rapide présentation de l’univers, une petite idée du système que je pense utiliser. Un truc tout droit sorti de mon esprit mais qui me semble assez évident donc, on retrouve peut être quelque chose d’approchant ailleurs.

Donc j’ai opté pour un système plutôt basique avec uniquement des dés 10 (plus simple, je trouve) et l’utilisation de caractéristiques et de compétences. Rien de très original là dedans. Peut-être un peu plus dans la façon d’utiliser les compétences et de faire les jets.
A chaque test, on jette deux dés, un permettant de savoir si le test est une réussite ou un échec (jet de réussite) et le second sert à déterminer de l’ampleur (jet d’ampleur). C’est au joueur de décider avant de lancer les dés si le plus grand des deux servira à déterminer la réussite ou l’ampleur (si le MJ le veut, il peut parfois prendre la main, cf. exemples). Pour le jet de réussite, le MJ fixe une difficulté et si la somme jet choisi (le plus grand ou le plus petit donc) + caractéristique correspondante est supérieure ou égale à cette difficulté, le jet réussi, sachant qu’un 1 au dé est automatiquement un échec. Le MJ détermine aussi le nombre de réussites nécessaires à réussir l’action ainsi que l’effet d’une éventuelle réussite exceptionnelle (plus de réussite que de nécessaire). Le MJ peut au choix dévoiler ces informations aux joueurs ou les garder pour lui-même (idem d’ailleurs pour la difficulté du jet).
Exemples :
Bob tente de crocheter une serrure assez simpliste. Le MJ estime que la difficulté est de 9 (sachant que bob à 6 en « habileté », il lui faut un 3) et qu’il faut 6 réussites. Cependant, Bob a le temps et peut agir plusieurs fois. Il décide d’assurer en décidant que le plus gros jet sera pour la difficulté : il sort alors un 8 et un 4. La serrure n’est pas crochetée mais cela est sur la bonne voie.
Valérie marche sur un tronc pour traverser un ravin. Le tronc est gros, solide, bien fixé et les conditions sont optimum. Le MJ fixe alors la difficulté à 6 (Valérie a 8 en « habileté », il lui faut donc un 2) et le nombre de réussite à 1 (on vous l’a dit, c’est simple). Elle décide donc logiquement de prendre le plus gros dé pour le jet de réussite.
Viktor tire sur un ennemi au fusil à lunette. Il hésite entre viser la tête ou juste sur l’individu. Le MJ décide en fonction de ce choix de la répartition du dé. S’il vise la tête, le plus gros jet sera l’ampleur (les dégâts sont plus violents mais c’est plus dur de toucher), sinon ce sera le jet de réussite (plus facile de toucher quelqu’un mais une balle dans la jambe, ça fait moins mal qu’en pleine tête)

Compétence : Si le joueur a une compétence qui correspond à cette action, il peut décider, avant de déterminer quel dé sert à quoi, de considérer que le dé correspondant au jet de réussite ou d’ampleur aurait fait un score égal à la valeur de cette compétence et ne lancer qu’un seul dé pour avoir l’autre jet. L’utilisation d’une compétence est toujours facultative.

Liste de caractéristiques :
Intelligence
Force
Habileté
Sociabilité
Endurance
Technologie

Création de perso :
Total fixe de points (120 ?) à répartir entre les différents groupes que sont :

Mutations (2 points=jet sur le tableau de mutation, rerollable pour 1 point), pas de mutations pour les gens d’en-haut
Caractéristiques (x points à répartir entre les 6 compétences) 5-10 pour les utopiens (ce sont une élite), 1 à 11 pour les survivants
Compétences spéciales (chaque compétence spéciale vaut un certain nombre de point à la disposition du MJ, le shamanisme, seule magie disponible, réservé à ceux d’en-haut est considéré comme une compétence spéciale coutant 2 points + d’autres pour le choix des rituels maitrisés)
Contacts (chaque contact vaut un nombre de points en fonction du type d’individu et de la relation entretenue)
Possessions (une somme en $ qui dépend du nombre de points investis, somme que l’on peut dépenser ou garder immédiatement)
Compétences (x points investis=2*x points à répartir entre les différentes compétences, mini 2, max 10 au départ)

L’ordre de construction est évidemment une suggestion et l’on peut évidemment revenir en arrière à tout moment pour faire des modifications.

Voilà un rapide aperçu du système que je pense mettre en application dans mon jeu de rôle si jamais je m’en sers un jour. Il faudra compléter tout ça (détails, liste de compétence, système de combat plus détaillé, mutations, shamanisme,…) ainsi que le background mais ça fait un bon début là, non ?

petite sélection de série

Bon, une petite sélection de série TV que j’apprécie vraiment beaucoup et que je ne peux que vous conseiller très vivement :
Tout d’abord les 3 indispensables et indiscutables qui se trouvent dans toutes mes sélections :
· Malcolm. Un grand classique que tout le monde doit connaitre. La première série que j’ai vraiment suivie, toujours aussi drôle avec des personnages tous aussi bon les uns que les autres. A voir, revoir et re-revoir sans arrêt.
· The Big Bang Theory. La grosse découverte série de ses derniers temps, une série de geeks, sur les geeks, pour les geeks mais pas que (donc même si vous ne l’êtes pas, lancez vous quand même, vous ne serez pas déçus. Et appréciez même si tout n’est pas compréhensible même pour un geek comme moi). Là, on n’est plus dans le drôle mais bien souvent dans l’hilarant. Les 5 personnages récurrents sont tous très bons, bien trouvés et Sheldon est juste génial (pour les mecs, je dirais juste Penny…)
· The Shield. Là c’est du lourd, de la bonne grosse série policière. Adeptes de séries françaises ou de séries stéréotypés américaines à la preuve à l’appui/les experts, attendez vous à autre chose. Les héros sont de très bons flics mais dépassent sans arrêt la limite. Pas d’angélisme, pas de manichéisme, juste un univers à la fois sombre et terriblement réaliste. Pour se plonger, regardez l’épisode 1 de la saison 1; il est tout bonnement extra comme épisode pilote, on en prend plein la face et le final génialissime donne envie de poursuivre direct.

Ensuite, pêle-mêle, une liste avec des trucs très variés, de la série comique au truc bien déprimant, du policier à la SF, du grand classique à des autres peut être moins conventionnelles, de l’anglais (enfin, une seule), du français (trois) et du ricain (le reste quoi) :
· Les experts. No comment ou presque (juste que pour moi, il n’y a que Vegas qui passe, au niveau des personnages, de l’équipe et de la plupart des enquêtes, pas de Manhattan ni de Miami. Pourquoi regarder une copie alors que l’originale est supérieure…)
· Esprit criminel. La dernière série policière américaine que je retiens (ça fait donc trois). Là aussi une équipe qui tourne bien avec des personnages super intéressants et des enquêtes qui vont du classique à très sympa (le premier épisode que j’ai vu restera à jamais dans ma mémoire, du très très bon)
· How I met your mother. Un ensemble qui tourne bien. Assez classique mais souvent très drôle. Un groupe de 6 personnages qui tourne très bien mais où Barney surnage. Par contre, je me lasse un peu à la fin ; la série tourne un peu en rond, les évolutions sont moyennes et la sauce ne prend plus trop. Et il faut dire qu’à côté de TBBT,…
· Scrubs. Là aussi un classique très bon et très drôle mais là aussi je me lasse sur la fin (ça ressemble pas mal à How I met avec Barney en moins et des personnages qui apportent souvent plus de fun que les autres personnages de HIMYM)
· Friends. No comment ou presque encore (ici c’est pour dire que Joey, solo en série ça passe pas…)
· That is 70’s show. Une série pas toute jeune mais toujours très drôle, sur laquelle on peut revenir assez régulièrement. Et certains des personnages sont extra (Léo, Fez,…)
· My Name is Earl. Rien à ajouter, cf. l’article précédent
· Pushing daisies. Très bonne série (on sort des comédies là mais cela reste bien drôle), malheureusement trop courte. Je trouve le scénar assez peu classique en série mais bien fichu et terriblement poétique (enfin je trouve hein…). Les personnages principaux sont très bien trouvés, assez complexe et l’actrice principale, Anna Friel est sublime (j’aurais aussi pu dire mam mam ou kawaï mais non…)
· Breaking Bad. Donc, là ce n’est pas une série comique ou policière. Pas de SF, pas de truc à l’eau de rose ou débile comme il y en a tant. Je vous mets tout de suite au parfum : ça fait vraiment très mal à la gueule. Du drame comme on en voit bien peu (les spécialistes de séries vont peut-être me contredire mais je ne vois rien de semblable ; on voit certes des points communs avec The Shield mais c’est très différents). Et Bryan Cranston (qui joue aussi le père dans Malcolm) est hallucinant dans son rôle.
· Doctor Who. Coucou Sand ! La seule série de science fiction du lot. Un truc anglais très sympa même si le côté super-héros peut parfois un peu énerver (que cela soit Rose ou le Doctor qui passe en mode Dieu). Les scénarios et références sont souvent très biens fichus, les méchants déboitent aussi bien en général (DALEKS !!!!) et l’humour anglais est toujours aussi drôle et fin. Commencez par la saison 2 avec l’arrivée de David Tennant, qui fait un très bon doctor (le prochain fait quand même assez peur…)
· Les bleus. Une petite série française qui paye pas de mine mais qui se révèle assez sympa avec une promo de nouveaux flics qui débarquent dans le même commissariat, qui ont tous une personnalité bien à eux et plutôt bien fouillé et qui enchainent boulettes et erreurs dans leur nouveau métier. C’est bon, rafraichissant et ça change des séries stéréotypes qu’elles soient françaises (Julie Lescaut, Navarro and co mais bon, merci très peu pour moi), ricaines ou autre (attention, les teutons ont un très fort potentiel avec Derrick et autres Rex).
· Sur le fil. Une seconde série policière française avec des flics là aussi bien pensés, qui ne sont pas des bisounours ou de faux-méchants, des intrigues plutôt pas mal foutus (un peu classiques parfois mais ça passe très bien) et un fil conducteur qui tient en haleine. A regarder à la TV ça parce que ce n’est pas forcément évident à trouver. Vivement la suite…
· Flics. Une troisième et dernière série policiaire française mais là c’est un peu particulier puisque c’est très court, c’est du Marchal (avec tout ce que cela implique de violence et de frics corrompus et tortueux mais personnellement j’accroche bien) et la distribution est pas mal (Diefenthal qui joue très bien en particulier). Le rythme est très bon, le scénario aussi. On assiste à une sorte de sous The Shield à la française et c’est très sympa quand même.

Voilà, ma petite sélection personnelle qui vaut ce qu’elle vaut puisque complètement subjective (mais bon, j’ai bon gout donc bon…). En espérant que ça va motiver quelqu’un à aller découvrir (et apprécier) un ou deux trucs… J’ai été à l’essentiel en omettant volontairement des séries que j’aime bien mais pas forcément autant (Dexter, Monk, Chuck, House,…), les séries que je regarde plus ou moins honteusement (Dark Angel et Jeremiah même si ce n’est pas tout jeune mais là c’est le rôliste qui fait ses devoirs) et en favorisant aussi quelques trucs sympa mais pas assez connu (Breaking Bad, Pushing Daisies et les séries françaises en particulier). Pour plus de détail, on voit ça de visu ou alors je fais un autre article (si je n’ai pas la flemme…)

No Future ? Background

Bon, cette fois ci, un truc retrouvé sur mon PC et un petit peu remanié. Un background de base pour un jeu de rôle (enfin, le truc peut être remanié pour un roman, des nouvelles, un jeu PC, une série, bref un peu n’importe quel support). Je pense qu’il y a moyen de faire un univers assez cohérent, avec pas mal de possibilité dans le déroulement d’un éventuel scénario). Pour l’inspiration de base, elle n’est absolument pas masquée, c’est une idée qui vient du très bon Docteur Folamour de Kubrick (pour ceux qui ne l’ont pas encore vu, c’est vraiment à voir). Pour ce qui est du nom, rien que du provisoire (pour ce No Future ?), je pense que ça sera plutôt un clin d’œil au film.
Donc, voici donc un premier article sur cette idée de jeu avec présentation succincte de l’Univers, des deux grandes factions et des types de personnages jouables.

En 1965, alors que la guerre froide bat son plein, le chef d’une base américain devient complètement fou et décide d’envoyer l’aviation dont il a la charge bombarder l’URSS avec des bombes nucléaires. Seulement, les autorités soviétiques avaient prévu un tel assaut et ont installé un système de défense au sol qui va irradier toute la planète. Le docteur Folamour, un ancien scientifique allemand en exil au Etats-Unis, propose au pouvoir une place une solution qui est immédiatement acceptée : il s’agit de s’abriter dans les grottes et souterrains qui se situent sous le pays et de s’y terrer en fortifiant et en reliant les grottes entre elles. Par contre, les grottes ne pouvant contenir autant de monde, il est décidé que seule l’«élite » du pays pourra s’abriter ainsi. La sélection se fait en faveur des hommes les plus forts physiquement et les plus intelligents (en gros, les militaires, les politiciens, les scientifiques et les grands entrepreneurs: aucun individu issus des classes les plus défavorisées n’est accepté, ni le moindre intellectuel) et des plus belles femmes (en gros dix femmes pour un homme, les femmes étant là pour reproduire le peuple américain et être en supériorité numérique par rapport au soviétiques). Le pouvoir américain décide donc d’appliquer ce plan et s’isole donc ainsi de la plus grande partie de la population. Celle-ci affronte donc les effets de l’explosion. Elle vit donc l’enfer et une majeure partie d’entre elle succombe finalement. Cependant, certains arrivent à survivre même si ils sont affectés à jamais. Deux civilisations cohabitent donc, une première souterraine et super organisée et une à la surface qui tente d’exister tant bien que mal.

Utopie :
C’est ainsi que les américains qui s’abritent sous terre appellent leur nouvelle société : « Utopie ». Originellement, cette société étant composée de l’élite, chacun estime les autres et le pouvoir qui se met en place est un pouvoir absolument égalitaire ou chaque personne peut contribuer à œuvrer pour le bien de la communauté. Les premiers temps sont merveilleux mais après deux années les femmes n’apprécient plus la façon dont elles sont traitées par les hommes. En outre, elles se rendent compte de leur supériorité numérique et en profitent donc pour prendre le pouvoir. Le pouvoir qu’elles mettent en place est alors un régime totalitaire dirigé par trois d’entre elles, les trois principales meneuses de leur révolution, à la mort d’une meneuse, sa successeur est désignée par un vote où toutes les femmes de plus de 18 ans peuvent voter, les candidates étant désignées par les meneuses survivantes (chacune en nomme une et si elles nomment la même, celle ci est élue).

Surface :
Les radiations venant de l’URSS n’ont pas éradiqué toute la population de la surface des Etats-Unis. En effet, les plus résistants ont réussi à survivre. Ce sont pour la plupart des marginaux, déjà habitué à résister à la solitude et à une vie très dure. Cependant, la survie à été dure pour les quelques chanceux qui tiennent encore et leurs descendants ont été affectés psychologiquement et physiquement (par la difficulté de la vie, la rudesse, les retombées des radiations, la famine, etc.). Dans le même temps, la nature a repris une place prééminente, se transformant pour devenir de plus en plus dangereuse pour l’être humain. Quand au système politique, la plupart des dirigeants étant parti au sous-sol, il n’y a plus de pouvoir réellement organisé et aucune tentative de reconstruction n’a réussi à porter ses fruits, l’anarchie règne encore…

Le jeu se déroule environ 70-80 ans plus tard alors que les communautés de surfaces se stabilisent un peu de manière autonome, que les utopiens commencent à envoyer des expéditions de reconnaissance en surface et que leur système

Que jouer ?
· Des groupes de commandos envoyés en surface pour reconnaitre le terrain et envisager une éventuelle recolonisation, toujours dans l’optique de la lutte contre un ennemi communiste fantasmé
· Des gens de la surface qui tentent de survivre tant bien que mal
· Des criminels d’Utopie jugé à la peine « presque » capitale (l’exil en surface, avec un équipement minimal)
· Des idéalistes utopiens s’exilant eux-mêmes en surface pour découvrir un nouveau monde et aider ceux d’en-haut
On peut aisément mélanger des membres des trois derniers groupes. Pour ce qui est du premier groupe, c’est un peu plus difficile mais cela reste faisable.

Voilà pour l’idée de base de background. Après, il faut fouiller un peu, enrichir et développer chacun des deux univers (quoique, ça peut être intéressant de quasi tout garder pour le MJ…). Pour le système, j’ai déjà une petite idée et un autre article ne devrait pas tarder.

Another world is geekible

Another world is geekible

Voici, comme promis à certains, une petite idée de série TV que j’ai eu l’autre fois en matchant dans la rue, rentrant de la fac (non, je ne raconte pas ma life). Cela se base sur un strip du blog de boulet que je trouve énorme (http://www.bouletcorp.com/blog/index.php?date=20071108). Je ne vois pas comment adapter cela en jeu de rôle (quoique) mais je pense qu’en série TV cela peut passer (pour la BD, je pense que c’est jouable en supprimant la première partie mais cela passerait moins bien). Je pense que le format 16 épisodes de 20-22 minutes est l’idéal vu le programme. Pour le titre, celui là me plait bien mais on peut peut-être le retravailler.

Voici donc la saison 1 : Invasion
Episodes 1 à 4 : France, grosse ville indéterminée (Paris ?), installation de l’univers, où l’on découvre la vie d’un immeuble en copropriété avec de nombreux habitants assez variés :
-Le beau gosse typique vivant avec une bimbo (Kyle et Pamela)
-le vieux couple (Mr et Mme Folcoche)
-un groupe de 4 geeks (Bob, Andy, Freddy et Julien) qui vivent en collocation au milieu de leurs PC-comics-affiches de films (TBBTH style)
-une famille avec les deux parents et leurs trois mômes (les Dupont)
-une jeune étudiante timide et archi sérieuse (Marine)
-un vieillard d’origine ouzbèke, Raspoutine style (Dimitri)

Cette première partie vise à présenter les personnages, développer quelques intrigues, le tout façon sitcom à l’américaine. Les personnages centraux semblent être les 7 étudiants (idem au générique). Quelques éléments importants pour la suite de la saison :
-Radio/TV en fond, régulièrement où l’on apprend petit à petit que la tension monte entre la communauté internationale et un pays (Ouzbékistan ? Russie ? ... ? Un pays de l’Ex-URSS reste préférable. Pour plus de facilité, on va considérer que l’Ouzbékistan est le pays en question. En cas de choix différents, il faut modifier toutes les occurrences à ce pays) qui semble avoir une politique de plus en plus isolationniste et expansionniste tout en menaçant d’utiliser sa nouvelle arme secrète (personne n’a d’idée de ce dont il peut s’agir mais tout le monde hésite entre moquerie et crainte réelle). Les informations se veulent de plus en plus alarmistes.
-c’est la fête tous les soirs chez Kyle et Pamela qui invitent régulièrement du monde et couchent à gauche et à droite (mini 1 par épisode). Les autres habitants s’en plaignent mais les fêtards n’en ont que faire, ils leur rient au nez où invitent les jeunes. Les 4 geeks accepteront une fois (épisode 4) et seront hors de leur élément, complètement geeks et décalés.
-Les Folcoches sont les propriétaires de l’appartement de Marine qu’ils terrorisent continuellement. Ce sont aussi les experts de la calomnies et rumeur vicieuse. Ils appelleront d’ailleurs une fois la police pour dénoncer un crime complètement imaginaire chez les geeks (épisode 2).
-les geeks sont des geeks ! Ils craquent tous pour Pamela sauf Freddy qui s’est amouraché de Marine, qui se trouve être l’amie d’enfance de Julien. Ils organisent lors de l’épisode 3 une grande soirée «Grands films cultes de zombis» où ils ne regarderont que des films de ce genre (la nuit des morts vivants, shawn of the dead, 28 jours plus tard, evil dead), débâteront (de façon caricaturale) à ce sujet (le meilleur film ? quelle est la meilleur façon de poutrer du zombi ? le sang dans ce genre de film, comment le faire ? est il réaliste ?). Ils seront d’ailleurs l’occasion de quelques références (keutulu, du jeu de rôle, the doctor, partie de pandémie…). Bob, n’ouvre pas la bouche une seule fois (idem pour la suite de la série d’ailleurs)
- les Dupont sont une famille typique avec des mômes agités qui profitent de la moindre occasion (Une soirée zombis ? le paradis…)
- Dimitri est presque invisible, vivant seul, en quasi-ermite. Il fait flipper tous le monde.
-l’épisode 4 se termine sur la déclaration de guerre d’une bonne partie de la communauté internationale à l’Ouzbékistan

Episode 5 et 6 : la montée de la tension.
Chacun réagit à sa façon au conflit qui se prépare : Les Duponts et les Folcoches s’en prennent à Dimitri qu’ils soupçonnent d’être un espion à la solde de l’étranger. Celui-ci se fait un temps embarquer par la police (fin du 5) avant d’être relâché (milieu-fin du 6) mais la suspicion reste présente. Les geeks geekent (mode jeux de guerre à fond, où Bob se révèle être super doué). Kyle veut s’engager dans l’armée au grand dam de Pamela qui est partagé entre crainte de le voir partir et admiration. Marine s’engage dans le mouvement s’opposant au conflit (mode hippie on). Cela mène vers de belles discussions enflammées et ridicules entre elle et Kyle (entre une jeune utopiste bisounours « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » et un abruti de première au QI d’une huitre et doublé d’un racisme latent. Kyle finit par s’engager alors que l’on parle de bombardements préventifs sur l’Ouzbékistan. L’épisode 6 se termine par une fuite de la population qui semble déserter le pays. L’armée ouzbèke semble étonnamment muette et amorphe. A partir de l’épisode 5, l’aspect sitcom reste présent mais disparaît petit à petit (les gags disparaissent, l’humour se transforme et se noircit, l’ambiance se fait de plus en plus oppressante et surtout les rires à la con sont progressivement enlevés) avant d’être totalement supprimé dans la fin de l’épisode 8.

Episode 7 et 8 : ils arrivent
On apprend que l’assaut sur l’Ouzbékistan prend fin mais sans plus de raison (début de l’épisode 7). Kyle revient de sa formation de militaire et annonce que l’engagement massif qui avait débuté est stoppé. Mais il a trouvé sa vocation et veut y retourner (c’est l’occasion de jeux de mots de la part des geeks sur l’ambiance « viriles » des militaires, jeux de mots que Kyle ne semble pas goûter). Tout le monde semble satisfait de la situation avec la fin de la guerre. Une fête commence à être préparée. On apprend ensuite que l’Ouzbékistan est touché par une épidémie d’origine inconnue et que c’est cette épidémie qui fait fuir le pays à ses habitants plus que la guerre (fin du 7). Petit à petit, l’épidémie semble gagner du terrain sur les pays voisins et l’information venant de ces pays diminue pour être finalement inexistante. Les médias commencent à spéculer sur l’éventuelle arme secrète de l’Ouzbékistan. Kyle est rappelé dans l’armée et annonce à tout le monde qu’il doit partir se battre contre la pandémie (début du 8). On apprend quelle est cette menace : les morts se relèvent et s’en prennent aux vivants! Alors que l’Allemagne est touchée, le gouvernement annonce que la France est épargnée et ne risque rien. La population hésite entre panique totale, confiance ou fête dans une ambiance de fin des temps. La fin de l’épisode 8 se fait sur la fête pour célébrer la fin de la guerre. En fond la TV annonce que l’Alsace est touchée et la France voit les premiers vrais zombis à la TV (on peut d’ailleurs apercevoir Kyle se faire tuer en arrière plan).

Episode 9 : ils sont là !
Pleine fête, les zombis débarquent. Chacun réagit un peu à sa façon, entre fuite et résistance mais c’est une débandade. Pamela est la première à crever (bah oui, une bimbo blonde ; ça attire forcément les zombis. Par la suite, la même actrice sera régulièrement réengager pour mourir toujours très rapidement). La caméra suit principalement les geeks qui vont se planquer au plus vite mais devront fuir sans arrêt (ils finiront sur le toit, sous la pluie, mal équipé et sous la pluie) ; certes ils devront au passage en éliminer quelques-uns. A partir de là, ils multiplient les références aux films de zombis.

Episode 10 : installation
Les geeks se réinstallent sur le toit et dans le dernier étage d’où ils arrivent à chasser les zombis. Ils arrivent aussi à sauver une fillette de 5 ans. Les voilà propulsés parents de substitution. Dans cet épisode, ils font le maximum pour tenter de construire une mini station électrique et avoir un minimum de confort. L’épisode se finit un beau matin alors que Freddy et Julien repèrent Marine en face, seule et menacée de toute part par des zombis. Ils réveillent alors leurs amis et décident de tenter de la sauver.

Episode 11 : In bed with Bob
Un écran noir. Un peu de bruit. On tente de réveiller quelqu’un. L’écran s’allume. On est Bob. Marine est coincée en face. Il faut aller la sauver. On dit un « let’s go » et c’est parti ! Bob se lance donc seul à l’assaut de l’immeuble d’en face et l’épisode complet se fait en caméra embarqué. Ce sera une grosse charge de Bob qui mettra la quasi-totalité de l’épisode à sauver la belle. Ce sera le seul épisode où Bob parlera (des cris de défoulement, le « let’s go » du début un « viens » à Marine).

Episode 12 à 14 : survie
Il s’agit juste de survivre au cours de ces trois épisodes. Il faut dormir, se relayer et chercher de la nourriture. Les zombis sont toujours très présents. Par contre, d’autres communautés humaines semblent subsister ailleurs.

Episode 15-16 : organisation
Le groupe des six survivants sont contacté par un Darklord47 , il cherche à construire une « résistance » qui va résister à l’invasion de zombis. Tous décident de partir le rejoindre pour tacher de survivre et de créer une grande communauté qui devrait pouvoir tenir. C’est le grand départ pour tous les 6. L’épisode 16 se termine alors qu’ils arrivent enfin à rejoindre Darklord47.

Voici donc un synopsis assez simple de ce qui pourrait être la saison 1. Bon, tout ceci n’est qu’un immense fantasme archi geek et la BD originale de Boulet vous donne une idée de la suite (mais pas de la fin). Peut-être qu’un jour je mettrais mes idées débiles et tordues à jour et que je vous publierai ça… (Saison 2 = reconquête. Saison 3 = élucidation. Pas de saison 4)

Soirée Jdr du 11/07/09, mini résumé

Pas de résumé détaillé de la partie d’Hellywood en fait. Juste un truc léger. Ça commence à dater et j’ai une petite flemme. En plus, j’ai pas mal de chose à taper à côté (des trucs pour mon projet de JdR maison, mon synopsis de série, des articles pour le blog jeu de société avec Alex,…) ; encore heureux que je n’ai pas de mémoire à bosser… (Bon courage à vous les amis ! Ça va le faire ! Et go go Sand en particulier)

Fin 1949, grosse séance enquête sur un artiste séraphin proche du milieu criminel russe. Après des recherches longues et difficiles (la demoiselle du groupe ayant donné plusieurs fois de sa personne et chacun ayant plus ou moins utilisé les avantages de son perso ; le groupe me plait bien d’ailleurs et me semble assez bien monté mais manque peut-être d’un gros bras…) et alors que les preuves commencent à remonter à la surface, les joueurs sont pris de vitesse et l’artiste passe à l’action avec ses petits « camarades » : ils enlèvent trois scientifiques américains et veulent les envoyer en bateau vers la grande URSS. Le groupe de PJ décide alors de remonter la filière (brutalisant au passage l’artiste) et localise le lieu où les scientifiques sont gardés. Ils lancent alors l’assaut après avoir négocié la non-intervention des dockers qui règnent sur le lieu. Le combat se déroule assez facilement et les PJ sortent vainqueurs (je dois d’ailleurs relire les règles de baston parce que là j’ai vraiment abrégé le truc…).

Le scénario s’achève avec la révélation de l’identité du véritable employeur des joueurs : ils bossent pour Van de Kamp, un ancien flic chargé par le chef de police Gordon de lutter contre la montée en puissance du communiste dans la ville. La dernière scène est donc une réunion avec les PJ, Van de Kamp, Gordon et le sénateur d’un autre état, monsieur Mc Carthy. Le ton de la suite de la campagne est donné : les joueurs devront donc lutter contre l’ennemi communiste !

dimanche 12 juillet 2009

Soirée Jdr du 11/07/09, présentation

Hellywood, seconde partie servant d'amorce à une petite idée de campagne qui me trotte en tête avec 6 joueurs:
Romain et Ernest reprennent chacun leurs vieux perso (cf. mes articles d'avril pour voir de qui il s'agit ainsi que leurs exploits précédents). Hans E. Johnson a juste profité des contacts amorcés dans le précédent scénario pour ramener à la liberté deux de ses anciens amis allemands, Helmut et Heinrich.
Alex joue Luck Gandor un petit mafieux italien joueur et séducteur qui sait aussi se débrouiller avec une arme dans la main et encore très porté sur la famille.
Brice joue Barbara Star, une très séduisante chanteuse jouant tout sur son charme. C'est aussi une amie d'enfance de Luck qui la considère comme sa petite soeur et qui veut la préserver le plus possible.
JF joue Takeshi, un japonais solitaire, tordu et complétement pervert ayant vécu toute sa vie dans les rues de la ville et qui tente de survivre via des petits boulots et le trafic de drogue.
Yann joue Angus, un ex GI, parachutté en Allemagne pendant la guerre, qui a tout perdu a son retour d'Europe avant de se venger avec le soutien de Hans (ce qui a permis aux deux personnages de se rapprocher). Il est depuis devenu tueur à gage, utilisant un atelier d'artiste comme couverture.

Ils sont engagés par un detective privé leur demandant d'enquêter sur un artiste du nom de Terry Namaig (aucune inspi pour le nom, sorry) qui semble flirter avec le milieu criminel.

Le résumé de la partie un peu plus tard car cela va être un peu long à taper...

samedi 11 juillet 2009

Pas de nouveaux messages

Oui, je sais, je ne publie presque rien en ce moment. La faute à trop de choses à faire, trop de gens à voir (z'etes lourd, les gens, je ne peux pas faire mon no-life). Toujours est il que je ne fais plus grand chose pour mon blog, ni pour celui avec Alex (oui, 3 articles mais c'est lui qui a publié les 3, je n'ai fait que quelques modifs). Mais bon, je pense que quelques articles ne devraient pas tarder, entre le gros script sur le scénar de série TV que j'ai commencé à écrire et promis à certains, le CR de la journée Hellywood d'aujourd'hui ainsi que ce que je dois faire pour l'autre blog (fiche de formule dé et de speed dans un premier temps). Mais bon, la semaine qui vient s'annonce chargé et devrait donner lieu à 1 ou 2 articles minimum (entre le we à Paris et le rdv probable avec JPV, ça fait). Va falloir que je fasse chauffer le clavier je pense. Donc encore désolé pour les non-articles publiés ces temps-ci...

Un peu de lecture pour ceux qui s'ennuient:
http://www.24hdelabandedessinee.com/public/list2009.php (de la BD sympa, avec des grands noms et des inconnus)
http://www.info-sectes.org/roles/roles2.pdf (un article prouvant qu'il faut immédiatement nous enfermer dans un asile, moi et mes petits camarades, un grand moment de plaisir à lire des choses aussi ridicules. J'atoute qu'il faut brûler Mireille Dumas...)

jeudi 2 juillet 2009

Beau bébé

Un nouveau petit blog, full jeu de société, par Alex et moi: http://aucuneideedejeu.blogspot.com/
Comme ça, pas d'articles jeux ici...

mercredi 1 juillet 2009

Blague...

Par qui...